lundi 12 décembre 2011

L'entente cordiale

J'ai abordé A. il y a une semaine avec un classique "Bonsoir, ça vous dirait de discuter". A. a 10 ans de moins que moi, 1m61 pour 64 kg. Le fait d'indiquer son poids est rare. Les photos d'elle sont sympathiques. A. est jolie.
Elle visite mon profil puis me répond. C'est en principe bon signe car elle a vu à quoi je ressemblais.
On discute des banalités, son travail, ses enfants. Je fais beaucoup parler les femmes. Je crois qu'elles aiment bien. A. me pose aussi des questions. C'est encore un signe. Il m'est en effet, arrivé de dialoguer sans que la dame ne me pose une seule question sur ma vie.
Après une centaine de messages, je lui propose d'aller boire un verre. Elle accepte et on se retrouve le samedi. A. est comme sur ces photos, elle est bien habillée avec ce qu'il faut de maquillage.
Il fait un peu froid. On se retrouve donc dans un bar à boire un chocolat chaud et dans une ambiance un peu bruyante. Tout se passe bien, je sens qu'on se plait. Nous allons ensuite au cinéma. Je vais pour l'inviter à dîner mais elle doit rentrer. A. me rassure tout de suite en me proposant de remettre ça dans 15 jours lorsqu'elle sera sans ses enfants à nouveau.
Pendant ces deux semaines, on continue de discuter mais juste ce qu'il faut. Le soir, à peine une heure lorsque ses enfants sont couchés. Le courant passe bien, je suis content.
On se retrouve le vendredi soir au restaurant convenu et là encore, tout se passe bien. Je la raccompagne à sa voiture et au moment de nous dire au revoir, elle se colle contre moi et m'embrasse. Je lui retourne son baiser, j'adore. J'ai l'impression d'être dans un film.
Je ne suis pas amoureux, ce n'est pas le coup de foudre mais j'ai vraiment des sentiments. Mon cœur bat vite.
- On se revoit quand ? lui dis-je.
- Je passe Noël chez mes parents mais ensuite je laisse mes enfants jusqu'au 2 janvier.
- Donc pour le nouvel an, tu es libre ?
- Oui.
- Tu veux venir chez moi, réveillonner ?
- D'accord
Et comme je lui ai avoué être nul en cuisine, A. me propose de faire le plat principal. Punaise, je ne sais pas si c'est la fin du monde en 2012 mais moi, je m'en fous.

samedi 3 décembre 2011

Le problème de fond

Souvent je clique sur le bandeau. Pour ceux qui ne connaissent pas Badoo, c'est une animation en haut de la page où défilent des photos. Ce bandeau fait partie des sources de revenu du site puisque pour passer, vous devez payer un SMS surtaxé.
Bref, quand je vois passer une jolie frimousse, je clique. Et là, je lis le profil :
"Un homme charmant, drôle, intéressant, qui a un minimum de cerveau. Je ne suis pas intéressée par les hommes de 18 ans. Je ne prends pas au berceau, désolée. Évitez de m'insulter si vous n'avez pas de réponse ou si vous avez une réponse négative.
LES PLANS Q NE M’INTÉRESSENT PAS, IL FAUT VOUS LE DIRE EN QUELLE LANGUE ????"
Le coup du berceau m'a bien fait rire, la jeune fille n'a que 23 ans. Elle se croit naïvement "cougar".
Pour le reste, on voit le problème de fond : trop d'hommes.
Des hommes qui prennent la mouche parce qu'ils se croient tous, tout seul à contacter. Des hommes qui pestent (ou pis qui injurient) lorsqu'ils n'ont pas de réponse. Des hommes qui pensent que Badoo est un supermarché du sexe et que les femmes ne cherchent que ça.
Tout cela entraîne une ambiance malsaine où je dois jouer des coudes avec de très nombreux concurrents. Mais je dois aussi avancer avec la plus grande prudence pour ne pas effrayer ces dames même avec des propos neutres pour ne pas passer pour un "pervers narcissique".
Badoo est un combat de tous les jours.

samedi 26 novembre 2011

Le bon copain

Toujours dans mes souvenirs de rencontre, je me rappelle de K. J'étais dans une période où j'étais un peu dépité. Surtout après mon agent du fisc en qui j’espérais une belle histoire. En plus, c'était le printemps, une période propice aux amoureux parait-il.
Donc, après quelques jours à peine de discussion, j'y vais au culot :
Moi : Ras-le-bol du virtuel, tu ne veux pas que l'on se voit ?
K. : Oui, pourquoi pas ?
Premier rendez-vous, déjeuner au restaurant. Tout se passe bien, il fait très beau et on passe même l'après-midi ensemble.
Deuxième rendez-vous, dîner au restaurant. Tout se passe bien aussi.
Troisième rendez-vous, dîner + boîte de nuit. On danse et on se marre bien. Vers 3H du mâtin, K. veut rentrer. Nous sommes dans la voiture et je lui propose de venir dormir chez moi car mon domicile est plus près :
- C'est sympa mais je préfère rentrer, me répond t-elle.
- Tu sais, je ne vais pas te sauter dessus. Il y a une chambre d'ami.
- Tu es un garçon gentil mais tu sais, je ne recherche pas d'amoureux. Juste des amis.
Ah d'accord, me voilà douché. On reste "bon copain", j'ai compris.
Je resterai poli sur le trajet du retour mais arrivés chez elle, je lui signifierai que je ne reprendrai plus contact.
Affaire classé.

vendredi 28 octobre 2011

L'écueil de la discussion réelle

Bon, je vous ai parlé de deux expériences précédentes qui s'étaient mal passées au moment de la rencontre physique. Il y a aussi un autre écueil à passer, la discussion réelle que vous entamez avec la dame.
Mon histoire avec F. commence en mai 2010. Elle a 38 ans, mesure 1m68 avec le classique "quelques kilos en trop". F. n'a pas mis de photo d'elle, il y a juste la tête d'une actrice bien connue.
A cette époque encore, je n'ai pas encore le réflexe de demander une photo publiée dans un album privé. Donc, j'entame une discussion sans me soucier du physique. F. est intelligente dans ses propos et elle a un humour qui me fait rire. Qui plus est, elle aime les mêmes films que moi : fantastique et science fiction.  Ce point commun nous lance dans de grands débats et je passe pendant plus d'un mois presque toutes mes soirées à ne discuter qu'avec elle. J'essaye à plusieurs reprises de lui demander une rencontre mais F. ne veut pas. Elle me promets cependant que "ça va se faire".
Et puis un jour, F. disparaît des écrans radar. Cela arrive parfois, le compte est supprimé et dans ce cas, vous ne pouvez rien faire. Je suis très déçu et m'en veux de ne pas lui avoir donné mon courriel.
Quelques semaines passent et un soir, je reçois un message. C'est F. qui a ouvert un nouveau compte. Elle me confie alors qu'elle a dû s'en aller car d'autres hommes la harcelait. J'écrirai peut être un billet là dessus car le comportement de certains messieurs est parfois odieux.
Cette fois, F. a mis une photo d'elle. Je vois alors une jeune femme à la peau matte avec des lunettes. Elle me précise qu'elle n'en porte pas mais que c'est juste pour s'enlaidir et éloigner les vautours. Quand je regarde la photo, je me demande ce qui va dissuader car F. est toute à fait mignonne.
Plus confiant puisqu'elle revenue et aussi décidé à ne pas la laisser s'enfuir une nouvelle fois, je demande un rendez-vous. "Avec plaisir" m'écrit-elle et on décide d'une soirée sans rien fixer d'autre.
Le vendredi arrive et F. se présente. Elle correspond à sa photo mais lorsqu'elle me sourit, j'aperçois deux canines qui lui donne un petit air de vampire. Elle n'est pas maquillée et porte un imperméable démodée qui lui donne un air de Mme Colombo.
Après un petit tour des restaurants, on se retrouve dans un bar à vins. C'est elle qui a choisit et pourtant, elle ne boit pas d'alcool. Bon, je prends timidement un verre de rouge parce que nous avons commandé de la viande.
Nous sommes assis l'un en face de l'autre et j'éprouve un sentiment de malaise. Je ne sais pas encore pourquoi. Ah si, F. fait austère. Son attitude est très stricte et pincée.
L'humour que nous échangions a disparu. Le timbre de sa voix est sec. Et pour cause, à la question "tu travailles où ?", F. me répond "je suis agent des impôts". Voilà, j'ai cerné le problème, j'ai l'impression de subir un contrôle fiscal. Je ne pensais pas qu'un métier pouvait déteindre à ce point.
Je n'ai pas besoin de vous dire que le repas fut épouvantable. Finalement, on se quitte et je lui enverrai un texto le lendemain pour lui dire que je préfère en rester là.
Le dossier est clos. Je n'ai pas eu, à ce jour, de redressement.

Conclusion :
Même si la photo correspond, la discussion virtuelle ne vous permet pas d'avoir le ton et l'attitude réelle d'une personne.

vendredi 14 octobre 2011

Cougar à moi

Ça fait maintenant 4 semaines que je discute avec C. Elle a presque le même âge que moi (à l'époque 43), elle en a 45. Cette fois, j'ai fait attention et C. fait 15 cm de moins que moi. C'est une jolie brune d'après sa photo.
Bref, on se plait intellectuellement au point que nous faisons des parties de scrabble en ligne. C. est une championne et me met une pâtée régulièrement. Cela permet de plaisanter et de nous rapprocher un peu plus.
Elle vit seule avec 3 enfants dont des jumeaux. Le rapport conflictuel avec son ex ne nous permet pas de nous rencontrer immédiatement. En principe, au bout de 15 jours de discussion, je propose un rendez-vous. Je n'aime pas rester dans le virtuel trop longtemps, on se fait des idées fausses. J'avais ainsi un peu trop idéalisé ma première rencontre et ne voulait pas retomber dans le même travers.
Enfin, elle arrive à dégager un week-end. Ses enfants seront chez leur papa et comme j'habite un peu loin (60 km), elle me propose même de m'héberger. Nous avons convenu de dîner dans un restaurant. Ne connaissant pas le coin, c'est elle qui choisit l'endroit.
Le soir tant attendu (pour moi) arrive. Le rendez-vous est fixé pour 20H. J'arrive un peu en avance et j'en profite pour acheter des fleurs. J'attends près du restaurant quand mon mobile sonne. C'est C. qui m'envoie un texto "j'aurai 30 min. de retard". Bon, c'est le privilège des femmes désirées me dis-je. 45 minutes après j'ai un nouveau texto d'excuse : son ex n'est pas venu et c'est la grand-mère qui a récupéré les enfants mais elle est en chemin. Je me dis que c'est mieux qu'un lapin et je ronge mon frein avec mon bouquet.
21H, une voiture arrive sur le parking et en sort C. Elle est encore de dos lorsque je lui dis bonsoir et tend le bouquet de fleurs. Elle se retourne et là... j'ai du mal à la reconnaître. Ce n'est pas du tout la photo. C. fait au moins 50 ans. Je me remémore nos dialogues et notamment un soir où elle m'avait avoué avoir recours au laser pour ses yeux et au Botox pour son front. En plus, C. n'est pas du tout à son avantage. Son ex n'étant pas venu, elle n'a pas eu le temps de s'apprêter. J'ai donc en face de moi, une femme avec les cheveux en pétard, pas maquillée et habillée (hum) négligemment. Je suis un peu déçu mais je pense à la course qu'elle a dû faire et l'effort déployé pour arriver jusqu'à moi.
Bon, allons dîner ! Le restaurant est épouvantable avec des plats que je déteste manger. Le type cuisine nouvelle où le Chef mélange le jus de framboise à la viande. Je fais bonne figure et je vais jouer pendant près de deux heures, le conseiller conjugal de C. qui m'étale ses malheurs avec son ex.
L'addition (très douloureuse) arrive et comme à mon habitude, je règle. Puis, nous partons et comme convenu, je suis invité. Je la suis en voiture et nous arrivons chez elle.
C. oublie le bouquet dans la voiture, ce qui a le don de m'énerver. Mais je reste stoïque et j'entre. "Attention, c'est le bazar" me dit C. qui n'a bien sûr pas eu le temps de ranger non plus. D'accord, je ne suis pas un maniaque mais il y a des limites. Je me crois dans l'émission "C'est du propre". Des fringues partout, ça sent le renfermé et de gros moutons sont soufflés de sous le canapé quand je m'assieds. La cuisine n'est pas mieux lotie et la vaisselle sale s'entasse partout. Je refuse donc poliment le café qu'elle veut m'offrir ne sachant pas d'où va sortir la tasse.
Il est l'heure de se coucher. C. me donne sa chambre, elle ira dormir dans celle de l'un de ses enfants. Je passe à la salle de bain où je me lave les dents dans un lavabo jonché de cheveux et de poils (il y a un rasoir sur le bord pour les jambes de madame).
Devant ce manque cruel de propreté élémentaire, j'émets donc quelque doute sur l'hygiène intime de C. Me voilà totalement refroidi, libido à zéro. Si bien que lorsque C. se met dans l'embrasure de la porte en nuisette en me demandant si j'ai froid, je réponds bêtement que je ne couche pas le premier soir (en plus c'est vrai). Je crois voir un tic dans son regard mais sans plus. Je vais donc dormir seul dans des draps qui j'espère auront été changés.
Le lendemain, C. va m'éjecter dès 8H de chez elle, prétextant devoir récupérer ses enfants. Le week-end que j'avais imaginé s'est fortement raccourci mais je n'en suis pas mécontent.

Conclusion :
Méfiez-vous des photos. Le monde de la 2D n'est peut être pas le même en 3D.
Notez certains indices dans les discussions. Ils peuvent vous révéler des parties (vices ?) cachées de la personne.

samedi 17 septembre 2011

Ma première fois

Bien que j'écrive ce billet en septembre, cette histoire m'est arrivé au tout début. J'étais sur Badoo depuis quelques semaines et je discute avec V. une jeune femme de 38 ans.
Au départ, V. n'a pas mis sa photo mais celle d'une chanteuse du même âge.
Pas encore habitué au site de rencontre, je ne demande pas immédiatement la photo et engage la conversation. Le courant passe et je propose au bout d'une dizaine de jours de se rencontrer.
Elle est alors hésitante et commence à me parler de son physique. Je réponds que j'ai compris et que j'ai lu son profil. Elle est aussi grande que moi (4 cm d'écart) et elle a "quelques kilos en trop" (c'est comme ça que c'est marqué sur Badoo).
Je lui demande alors non sans mal, de mettre en ligne une photo. Sur Badoo, il est possible de mettre des albums privés accessibles sur autorisation. Je vois alors une jeune femme un peu forte mais sans plus. C'est ma première rencontre après ma séparation. J'avoue qu'à ce moment, j'étais un peu désemparé. En fait, j'avais un désir assez fort de plaire ou de savoir si je pouvais plaire.
On décide donc d'un rendez-vous. Nous sommes en mai. Il fait beau. V. est assise sur un banc. Elle se lève quand j'arrive et là, c'est le drame. J'ai l'impression d'être un freluquet à côté d'elle. Il faut dire que je ne suis pas épais.
Comme prévu, je prends un verre avec elle. Mais le charme est rompu, la discussion virtuelle que nous avions s'est transformé en banalités. Je n'ai plus rien à dire et ne pense qu'à son gabarit imposant.
Au bout d'une heure, je suis sec en sujet de conversation. Heureusement, elle parle pour deux. On marche dans les rues et je me sens tout petit.
En fin d'après-midi, V. me propose de venir dîner chez elle. J'ai un flash idiot : j'ai peur d'être violé. Je refuse poliment en prétextant ne pas vouloir rouler de nuit. Je pense qu'elle a compris.
Le lendemain, je lui posterai un message d'excuse pour mettre fin à notre correspondance. Elle me répondra méchamment que de toute façon, je n'étais pas son type d'homme.

Conclusion :
Demandez toujours une photo au départ. Vous éviterez ainsi de fantasmer inutilement.
Si la personne n'entre pas dans vos critères physiques, n'insistez pas.

jeudi 15 septembre 2011

Qui suis-je ?

Je suis célibataire depuis avril 2010. Au moment de la rédaction de ce billet, je vais sur mes 45 printemps. Je suis un quadra qui fait son âge même si je n'ai pas de cheveux blancs. J'ai un physique classique pour ne pas dire quelconque. Mais bon, on est souvent mauvais juge pour soi-même parait-il.
Ce que je sais, c'est que je sais séduire une femme si j'ai la chance de discuter avec elle. Attention, je ne suis pas un baratineur.
Bref, cet élément est donc important. En effet, mon physique passe assez mal en photo. J'ai du mal à sourire et si je me force, ça ressemble à une grimace. Donc pour rencontrer sur internet, c'est un handicap.
Mais une fois passé ce cap, si j'arrive à décrocher un rendez-vous, ça peut marcher. Je parle bien au conditionnel car, vous le verrez par la suite. La rencontre peut générer des surprises.

mercredi 14 septembre 2011

Les filles sur Badoo

Les filles sur Badoo (mais c'est valable sur tous les sites) sont une denrée rare. J'estime le rapport homme/femme à 70/30. Oui, vous lisez bien : 7 messieurs pour 3 dames. J'ai fait une fois un comptage dans ma ville et sur ma tranche d'âge (35-45).
Du coup, lorsqu'elles sont connectées, elles sont littéralement assiégées. Des dizaines de contacts leur arrivent. Je me représente toujours cette image d'une femme en haut d'une colline de bonshommes qui s'entassent et se bousculent.
Aussi quand on n'est pas habitué, on peut s'énerver de ne pas avoir de réponse. Sachez donc messieurs, qu'il vous faudra user de patience et de persévérance. Et même si je n'aime ni cette image, ni ce sport, c'est un peu comme la pêche.
Les profils de ces dames sont à classer en plusieurs groupes. Attention, là encore, je parle de femmes dans ma tranche d'âge.
  • L'inconnue. Elle ne met pas de photo, ne remplit pas son profil, ne met pas ce qu'elle recherche.
  • La timide. Elle a mis la photo de quelqu'un d'autre (souvent une actrice ou une chanteuse).
  • La menteuse. Elle est comme la timide mais on croit que la photo est vraie.
  • L'inaccessible. Elle est super belle que l'on se demande ce qu'elle fait sur Badoo.
  • La cougar. Elle a votre âge mais elle en cherche un plus jeune.
  • L'analphabète. Profil bourré de fautes d'orthographe ou écrit en SMS.
  • La restrictive. Elle recherche à faire des trucs impossibles (saut en parachute, trek au Sahara, tour du monde en 80 jours...).
  • La timbrée. Les photos sont très dénudées ou évocatrices pour les mâles en chaleur. Ce sont souvent de faux profils.
  • L'infidèle. Elle est mariée (en tout cas, elle a marqué "en couple").
  • La prude. Elle ne cherche qu'à discuter et ne veut surtout pas faire de rencontre.
Certaines sont bien sûr dans plusieurs catégories à la fois. Une timbrée est souvent analphabète. Une infidèle est souvent une timide.

samedi 10 septembre 2011

Je me lance

Ce blog n'est pas là pour faire de la publicité à Badoo. Ses propriétaires n'en ont pas besoin. J'ai testé moult sites (connu ou non) et Badoo m'a semblé le plus approprié pour moi.
Bref, j'ai juste eu envie d'écrire ce que je ressens lorsque je suis en quête d'une rencontre.
Le titre de ce blog a été mûrement réfléchi. Un mélange de gagnant et de badineur. Comment ça, vous n'avez pas compris ? Mais si, faites un effort.